Google est sans conteste une figure majeure dans le monde informatique et, qui plus est, de la sphère SEO. Il ne s’agit pas moins du moteur de recherche le plus utilisé dans le monde et bénéficiant d’une popularité sans pareille. Comment Google en est-il arrivé là?
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Formation Google + : Comment ajouter un bouton +1 à votre blog WordPress
Les outils de Google Analytics
Optimiser votre page Google+ pour augmenter le référencement naturel
Les débuts de Google
Tout commence en 1995 à l’université de Stanford avec la rencontre

de deux jeunes étudiants américains prometteurs : Larry Page (droite) et Sergey Brin (gauche). Ils ont l’intuition qu’un moteur de recherche qui analyserait les relations entre les sites web donnerait de meilleurs résultats que les moteurs de recherche de l’époque, tels que Altavista.

Un an plus tard, c’est le lancement de BackRub, leur premier moteur de recherche alors hébergé par les serveurs de l’université. BackRub analyse ainsi des liens pointant vers un site web. Seul soucis, la consommation excessive de bandes passantes, ce qui poussera les deux génies à prendre en main leur projet en 1997. Cette année-là, le projet est rebaptisé Google, inspiré d’un traité de mathématiques, Mathematics and the imagination, du mathématicien américain Edward Kasner. Car, en mathématiques, un googol désigne le nombre formé du chiffre 1 suivi de 100 zéros.
Leur manque de moyens leur fait imaginer une technologie de serveur basée sur un assemblage de machines peu performantes, couplées en réseau, plutôt qu’une machine unique de forte puissance. Ce type d’architecture sera conservé dans les futurs « datacenters » de Google.
A la recherche d’investisseurs
En 1997, Yahoo avait eu l’occasion d’acheter Google pour 1 million de Dollars. Aujourd’hui Google vaut 200 milliards de dollars, et Yahoo dix fois moins.
Les deux chercheurs achètent des disques durs d’occasion pour constituer une base de données d’un terabyte dans la chambre de Larry. Sergey loue un bureau et se met en quête de financeurs. David Filo, fondateur de Yahoo! convient de l’intérêt de leurs recherches, mais les encourage à créer leur propre moteur de recherche plutôt que vendre leurs travaux.
Andy Bechtolsheim, l’un des fondateurs de Sun Micro systèmes, se laisse convaincre par l’enthousiasme de Sergey et Larry et leur fait un chèque de 100 000 $ pour financer leur moteur. Mais la société Google n’est pas encore créée et Larry garde le chèque dans son tiroir pendant quelques semaines, le temps d’achever les formalités légales.
La famille et les amis de Sergey et Larry se cotisent et parviennent à réunir un million de dollars pour fonder la compagnie. En septembre 1998, Google Inc. s’installe dans un garage de Menlo, loué par un ami. La société comporte 3 personnes : Sergey, Larry et Craig Silverstein qui est aujourd’hui directeur de Google Technology.
Le moteur Google est encore une version beta mais répond déjà à près de 10 000 requêtes quotidiennes. La presse mondiale commence à parler de Google à travers Le Monde et USA Today.
En décembre, PC Magazine classe Google dans sa liste des 100 meilleurs sites au monde. C’est le début de l’ascension.
Google devient trop grand pour le garage qui l’héberge et se déplace
dans un bureau sur l’avenue de l’université de Palo Alto.8 personnes

y travaillent désormais et le moteur répond à 500.000 requêtes quotidiennes. Red Hat est le premier annonceur de Google.
En juin, Google obtient 25 millions de dollars d’investissements issus des sociétés de capitaux à risques. Omid Kordestani quitte Netscape pour rejoindre Google en tant que vice-Directeur des ventes. Mike Moritz et John Doerr, qui avaient contribué à l’essor de Sun MicroSystems, Intuit, Amazon, et Yahoo!, s’assoient autour de la table de ping-pong qui sert de bureau de direction en compagnie de Ram Shriram.

La société déménage une seconde fois vers son emplacement définitif, le GooglePlex, situé dans les View Montains en Californie. AOL/Netscape choisi Google comme service de recherche.
En fin d’année, Google n’est plus un projet de recherche en version beta, mais un véritable moteur qui répond à 3 millions de requêtes par jour. Ses annonceurs affluent, Google est lancé pour de bon.
Philosophie d’entreprise: INNOVATION!
Une culture d’entreprise inédite se développe au Googleplex. Les
bureaux n’ont pas de murs et l’exercice physique pendant les heures

de travail est encouragé. Des chiens se promènent dans les bureaux qui sont de simples portes posées sur des tréteaux. Charlie Ayers devient Directeur de la compagnie.
Google n’a pas recours à des tondeuses à gazon pour entretenir les pelouses de son siège social, mais à plus de 200 chèvres.
Impossible pour Larry et Sergey de se satisfaire d’un « simple » moteur de recherche. Altavista, Yahoo ou Lycos ne tiennent plus. Google devient le plus grand moteur de recherche avec plus d’un milliard de pages référencées.
Le moteur devient multilingue et Google s’intéresse à la technologie

sans fil. Le moteur de recherche innove à partir des années 2000 avec Google Adwords. Cette célèbre plateforme propose un système de publicité ciblé en fonction des mots-clefs et réunit à l’époque 350 clients.
Les hommages de la presse mondiale sont désormais presque quotidiens.
Google AdWords
Google AdWords est le programme de publicité sur Internet de Google. Il permet de réaliser des campagnes de publicité avec des annonces simples et efficaces sur Internet. Ces annonces sont présentées aux internautes qui recherchent activement des informations en rapport avec votre entreprise ou votre activité.
Le principe de fonctionnement de Google AdWords repose sur un système d’enchères sur mots clés, il incite les annonceurs à faire monter les enchères des mots clés pour apparaître parmi les premiers résultats de recherche grâce aux mots clés choisis pour leurs campagnes.
L’annonceur est informé lors de la création de sa campagne d’une fourchette de « Coût Par Clic », reste à lui de définir son CPC maximal en fonction de ses objectifs de campagne et de son budget. Le CPC est directement lié à la concurrence sur les mots clés de l’annonce et au ciblage effectué.
Les avantages de Google AdWords
La possibilité d’effectuer un ciblage précis grâce aux mots clés : la

langue, la localisation géographique, les centres d’intérêts des internautes…
La possibilité de créer et diffuser une campagne en fonction de son budget, qu’il soit petit ou grand, AdWords est accessible à tous.
La possibilité d’une facturation au CPC ou CPM (coût par impression) en fonction de vos objectifs.
30 % des internautes cliquent sur les liens sponsorisés suite à leurs recherches.
La réactivité, votre annonce est mise en ligne en moins de 24 heures.
La possibilités de mesurer rapidement l’efficacité de sa campagne et d’optimiser son CTR (taux de clic). Une analyse précise du comportement des internautes grâce au couplage avec Google Analytics
Comment réussir une campagne Google AdWords?

Une campagne AdWords réussie est la combinaison d’une bonne maîtrise de son budget, d’un choix pertinent des mots clés, d’une annonce simple et efficace et d’un bon ciblage. Un suivi et une actualisation régulière sont également indispensables pour optimiser votre ROI (retour sur investissement). Une campagne réussie vous apportera un bon taux de conversion. N’hésitez à faire appel aux services d’une agence web pour vous conseiller ou superviser vos campagnes publicitaires.
Le ROI avec Google AdWords
L’exemple ci-dessous illustre l’autofinancement des annonces AdWords et l’augmentation du retour sur investissement qu’elles permettent d’obtenir :
• Vous investissez 100€ /mois dans des annonces AdWords avec un CPC moyen de 0,5 €.
Vous obtenez (100€ / 0,5) : 200 clients potentiels.
Certaines personnes vous diront que vous pouvez proposer un CPC (coût par clic) maximum à 0,01 euros. Il n’en n’est rien!
Comptez au minimum un CPC moyen de 0,1€.
• 1% de ces 200 clients potentiels achètent votre produit, soit 2 ventes
Les mots clés utilisés dans vos annonces doivent avoir un rapport direct avec le contenu de la page web de destination.
• Vous vendez un produit qui vous rapporte 100 euros/vente.
Votre investissement initial de 100 € vous rapporte (2ventes x 100€) 200 €.
Vous avez doublé votre capital de départ…
Si le contenu de votre site est en adéquation avec ce que recherchent vos visiteurs, alors vos ventes exploseront.
Dans ce cas, il est logique d’investir 100 euros tous les mois, voire opérer à plus grande échelle en réinvestissant une partie des bénéfices dans votre budget AdWords.
Attention !
Ne prenez pas cet exemple à la lettre…
Ne pensez pas qu’il est simple de créer des campagnes Adwords rentables.
Pour vendre sur internet en utilisant Google Adwords, vous avez deux solutions : suivre une formation Google AdWords et/ou faire appel à un spécialiste.
Quelques erreurs à éviter lors de votre campagne
Ecrire des annonces banales avec des expressions trop généralistes: soignez les titres, textes et liens de vos annonces. Pour chaque produit ou service, dressez une liste thématique de mots clés: vous devez rechercher les qualités ou fonctionnalités de vos produits / services (préférez les mots précis)
Créez autant de groupes d’annonces que de thématiques, dont au moins un mot clé se retrouve dans l’annonce (si possible dans le titre!).
Faire pointer systématiquement l’annonce sur sa page d’accueil de son site: choisissez la page la plus pertinente : Google adWords évalue la qualité de votre page de destination et sa cohérence avec votre groupe d’annonces.
Ne pas suivre les résultats de ses annonces. Focalisez-vous sur les mots-clés qui fonctionnent le mieux. Affinez vos annonces en excluant des mots clés. Créez plusieurs variantes de vos annonces et jetez celles qui ne sont pas rentables.
Pensez qu’une campagne Google adWords c’est facile.
Peu après le lancement de Google AdWord, Google lance sa « Toolbar » et doit désormais satisfaire 100 millions de requêtes par jour.
Google ToolBar
Dans sa course effrénée à la performance, Goolge use de toutes les possibilités pour améliorer ses résultats de recherche. Connaître nos moindres faits et gestes sur la toile fait évidemment partie des voies explorées.
Google Toolbar est une sorte de lanceur qui permet d’accéder aux services du site sans avoir à s’y connecter préalablement. Où que vous vous trouviez sur le web, il vous suffira de remplir le champ que comporte cette barre d’outils et de cliquer sur « Recherche Web » pour adresser votre requête au moteur de recherche et obtenir directement la liste des résultats proposés.
L’intérêt de la Toolbar de Google
L’intérêt majeur de la Google Toolbar outre le gain de temps tient aux options qu’elle propose. En effet, vous pourrez paramétrer plus précisément votre recherche que cela n’est possible sur le site proprement dit : en spécifiant les langues sur lesquelles doit porter la recherche, le nombre de résultats à afficher par pages (10, 30 ou 100), et le filtrage ou non des sites à contenu sexuel explicite.
La Toolbar donne accès à deux modes de recherche méconnus : une recherche avancée et un annuaire thématique de sites.
Les fonctionnalités de cet outil ne se limitent pas à ce formulaire de saisie, en effet, tous les services qu’offre Google sont directement accessible via cette barre.
Utilité de la Toolbar pour Google
Bien qu’aucune statistique officielle n’ait été publiée sur ce point, on estime que plusieurs dizaines de millions d’Internautes ont installé la
Google Toolbar sur leurs postes. Google est donc désormais en

mesure de connaître les habitudes de navigation d’une immense proportion des utilisateurs du web. Cet échantillon est largement suffisant pour se faire une idée très précise des sites qui sont appréciés ou boudés par les internautes.
Cette source d’information présente au moins deux avantages inédits par rapport aux autres sources dont peut disposer Google :
Elle est infalsifiable : aucun webmaster, aussi futé soit-il, ne peut truquer la fréquentation réelle de son site.
Elle indique le parcours des internautes et le temps passé sur chaque site.
Cette arme fatale permet, entre autres choses, de vérifier la qualité des résultats fournis par ce moteur de recherche et d’identifier à coup sûr les « spammeurs ».
Voici quelques exemples d’applications possibles :
Estimer la qualité d’un site
Un moyen simple consiste à regarder combien de temps vous restez sur ce site, combien de pages du site vous consultez et combien de liens proposés par le site vous suivez.
Vérifier la qualité des résultats de Google
Il suffit de comparer l’ordre des sites proposés par Google avec l’ordre des « qualités » estimées au point précédent. Il est aussi très intéressant de regarder quels sites vous choisissez dans la liste que vous propose Google et combien de temps vous passez sur ces sites. On peut supposer que si vous quittez ces sites au bout de quelques secondes, c’est que vous les estimez « non-pertinents » par rapport à votre recherche.
Identifier les « spammeurs »
Regardons les fréquentations des sites qui occupent souvent la première place des résultats. Si cette fréquentation est très rapide (l’internaute ne reste que quelques secondes sur le site), alors que ces sites sont censés être de bonne qualité, il y a de forte chance pour qu’il s’agisse de « spammeurs » qui ont gagné leurs premières places de façon « malhonnête ».
Changement et expansion pour Google au début des années 2000
En 2001, Google nomme le futur historique CEO : Eric Schmidt.
Les partenariats se multiplient à travers le monde. Des bureaux représentant Google s’établissent à Hambourg et Tokyo. La gestion multilingue de Google intègre à présent 26 langues.
Aujourd’hui, la Homepage est disponible en 80 langues dont le Klingon, une langue extra-terrestre de l’univers de Star Trek
La palette de commandes Google s’étend et permet d’affiner les recherches. En fin d’année, le service Google-Images sort de sa phase beta avec une première base comportant 250 millions d’images
Google s’intéresse à l’Intranet et propose aux sociétés qui gèrent des données privées (non accessibles sur le net) d’indexer leurs bases de

données à la façon de Google. La solution se présente sous la forme d’une boîte jaune qui intègre les principaux algorithmes de Google et qui peut être exploitée sur n’importe quel réseau privé. Elle séduit notamment Boeing, ce qui permet à Google de se débarrasser de son image de « société de chercheurs de campus ».
Les relations entre Google et ses utilisateurs sont au beau fixe. La compagnie ne cesse de recevoir des récompenses et des louanges et acquiert le statut universel de « Premier » moteur de recherche.
Le programme Google-API se développe et déclenche une cascade d’innovations de toutes sortes.
Le « Google-Labs » permet à toute une génération de chercheurs de travailler et de diffuser leurs idées novatrices à travers le monde.
En septembre 2002, c’est le lancement de GoogleNews qui synthétise de façon automatique l’information issue de 4500 sources différentes à travers le monde.
Le service de recherche de produits « Froogle » fournit aux acheteurs du Web une comparaison de prix et des informations sur les produits proposés par des millions de sites Web.
Google en bourse
Si l’année 2003 voit la création d’Adsense et Google news, l’année 2004 sera, elle, l’une des plus importantes de l’histoire de Google. Son entrée en bourse fait grand bruit. Sa capitalisation est à 50 milliards de dollars et la marque présente des chiffres en forte progression avec un revenu de 850 millions.
19 août 2004 : lors de son introduction en bourse, Google met 24 636 659 actions sur le marché. 24 636 659 est un nombre premier, c’est la constante »e » des logarithmes népériens.
Le prix d’introduction avait été fixé dans la fourchette basse, à 85 dollars l’action. La première cotation a immédiatement atteint 100 dollars. En cours de journée, le cours a oscillé entre 95,96 et 104,06 dollars, pour finalement finir à 100,33 dollars; ce qui représente une hausse de 18% par rapport au prix d’entrée.
La même année, Google lance GMail, le service de messagerie gratuit de Google. Il est possible de consulter ses messages en ligne ou bien en utilisant un client de messagerie. Gmail propose un espace de stockage de plus de 7 Go et propose un grand nombre de fonctionnalités telles qu’un antivirus intégré, un système antispam très efficace. Google n’a de cesse de perfectionner le service, si bien qu’il comporte désormais des centaines d’options de configuration.
En juin, Google a annonce une nouvelle version son algorithme et de son réseau. Un mois plus tard, Google rachète Picasa Inc., une société spécialisée dans la gestion de photos numériques.
La société passe la barre des 100 datacenters. Elle lance le service Google SMS en version beta et la première version de « Google Desktop Search « .

En octobre, Google annonce ses premiers résultats trimestriels en tant que société anonyme, avec un revenu record de 805,9 millions de dollars. Dans le même temps, a lieu le rachat de Keyhole Corp., une société spécialisée dans la gestion des images satellite.
18 août 2005 : Google lève des fonds en remettant 14 159 265 nouvelles actions sur le marché. Ajoutez « 3, » devant ce nombre et vous reconnaîtrez le nombre Pi : 3,14 159 265
La société a capitalisé plus de 50 milliards de dollars grâce à son introduction en bourse. Elle multiplie ses représentations à travers le monde. Elle ouvre un centre de recherche à Tokyo et un autre à Washington dont le rôle est de fédérer les énergies de tous les centres de recherches Google à travers le monde. Elle conclut des partenariats stratégiques avec des sociétés de téléphone américaines et européennes.
En fin d’année, l’index recense 8 milliards de documents.
Le référencement dans Google

Le positionnement est l’application d’un ensemble de techniques destinées à placer un site web parmi les premiers résultats naturels retournés par un moteur de recherche, en réponse à des requêtes sur des mots-clés déterminés. La première place dans cette liste est le résultat optimal à atteindre. Google étant le moteur de recherche le plus utilisé en Europe (autour de 95% de parts de visites web dans les principaux pays du continent), on lui accorde une importance toute particulière.
Optimisation interne du site
Un site internet ne peut obtenir un bon positionnement dans Google

s’il n’a pas été développé dans cette optique. Il est donc indispensable de lui appliquer les techniques d’optimisation du référencement « On Page » dès les premières étapes de sa conception. Ainsi optimisé, le site web sera correctement indexé, marquera des points auprès de Google et pourra entamer sa progression vers le haut de la liste des résultats. La suite du travail de positionnement s’effectue alors de manière indépendante du site, par le référencement « Off Page », une fois le site mis en ligne.
Référencement « Off Page »
Derrière la notion de référencement Off page, on trouve les techniques avancées qui s’appliquent non pas au site web mais extérieurement à celui-ci. Ces techniques consistent à forger à un site internet une réputation au sein du web. Plus cette cyber-réputation (ou e-réputation) sera bonne, plus la position du site dans les résultats de recherche de Google sur des mots-clés donnés sera élevée.
Google possède 1 million de serveurs, soit 2% du total mondial. Il faut bien ça pour traiter le milliard de requêtes quotidiennes.
La création de cette e-réputation passe par une politique de mise en place de liens externes pointant vers le site à positionner: les backlinks. Plus ces backlinks seront potentiellement générateurs de visites, plus la valeur des pages du site augmentera. Google mesure et attribue cette valeur grâce à son algorithme Page Rank. Le Page Rank d’une page web est d’autant plus élevé que la somme des Page Ranks des pages pointant vers elle est élevée.
Cette technique est utilisée dès le début de la création du site, pour autant qu’il y ait au minimum une page de destination.
Mais l’e-réputation n’est pas qu’un procédé technique de mise en place de liens. Il faudra également convaincre l’internaute qui, par son activité sur le web, deviendra lui aussi un porte-parole de votre entreprise.
Exemples de référencement « Off Page »
Les pratiques du référencement off-page évoluent constamment, notamment en fonction des mises à jour des algorithmes de Google. Voici quelques exemples de stratégies de positionnement génératrices de résultats :
La participation à des forums de discussion, notamment ceux qui
permettent d’insérer un lien dans la signature du participant à chaque

fois qu’il poste un message il générera une quantité de liens et attirera des visiteurs potentiels qui eux aussi sont susceptibles de promouvoir par la suite votre site via des liens.
La création de communautés dans les réseaux sociaux vous permet de promouvoir votre entreprise en créant des lieux d’échanges pour vos visiteurs potentiels ainsi que des liens pointant vers votre site depuis des site auxquels Google attribue un haut taux de confiance (Facebook, Twitter, Viadeo, etc.).
Les sites de partage de signets comme Digg ou Delicious vous permettent de mettre à disposition de tous des liens vers vos pages.
Le partage de photos de vos produits sur de grands sites spécialisés tels que FlickR ou Picasa augmentera leurs chances d’être vues, commentées et est un facteur potentiel de génération de trafic sur votre site.
Le partage de vidéos sur les sites spécialisés tels que Youtube ou Dailymotion, avec dans la légende un lien vers votre site, utilise le même principe que le partage de photos.
La soumission du site aux annuaires web tels que Yahoo ! ou Dmoz générera également un trafic de qualité issu de sites de confiance vers votre site

L’échange de liens est un procédé au cours duquel des webmasters s’accordent pour créer sur leur site des liens vers le site des autres et ainsi augmenter le trafic potentiel de chacun.
Enfin, un contenu de qualité et original sera un moyen sûr d’amener les internautes à partager volontairement des liens vers votre site et à générer du trafic sur celui-ci.
Bien entendu, l’application de ces techniques doit se faire avec précaution, Google dispose de ses propres outils de détection de pénalisation des sites aux pratiques frauduleuses.
Google continue sur sa lancée…
Une petite boîte bleue baptisée « Google mini » vient compléter l’offre de la boîte jaune pour la gestion des réseaux Intranet. Ce produit est le premier à être distribué par un tout nouveau réseau de distribution qui porte le nom de « Google Stores« .
Le nouveau projet « Google Vidéo » a pour objectif de recenser et de permettre l’accès à une base de données de films, d’émissions de télévision et d’animations vidéo.
Cette année voit aussi une version de « Google Desktop Search » pour les particuliers et une version dédiée aux réseaux privés.
Une première version d’un logiciel automatique de traduction est
développée pour le gouvernement américain. Cette application

deviendra plus tard accessible à tous à travers la fonction « outils linguistiques » accessible depuis la page d’accueil de Google.
Google Analytics (Urchin) voit le jour ainsi que Google Map.
Google Map

Le rachat de Keyhole Corp. a débouché sur la mise en ligne de « Google Map« , une encyclopédie géographique mondiale proposant des vues satellite du monde entier.
Google Maps est un service payant de cartographie en ligne. Le service a été créé par Google et lancé entre 2005 et 2006 en Europe.
Ce service permet, à partir de l’échelle d’un pays, de zoomer jusqu’à
l’échelle d’une rue. Des prises de vue fixes montrant les détails de

certaines rues sont également accessibles grâce à une passerelle vers Google Street View.
Deux types de vue sont disponibles dans Google Maps : une vue en plan

classique, avec nom des rues, quartier, villes et une vue en image satellite, qui couvre aujourd’hui le monde entier. Ce service n’est plus en version bêta depuis le 12 septembre 2007, et a été ajouté aux liens de la page d’accueil de Google.
2006 – 2010: Années de diversification pour Google
Google décide de s’attaquer au quasi-monopole de Microsoft concernant les applications pour micro-ordinateur. Sa stratégie consiste surtout à développer des applications accessibles en ligne quel que soit le système de l’utilisateur (Mac, Windows ou Unix). Mais quelques applications utilisables en local sur Windows seront également développées et proposées le plus souvent gratuitement.
Parallèlement, Google lance durant ces années quelques nouveaux programmes:
Picassa, un logiciel gratuit de retouche de photos disponible en 25 langues.
Finance, un moteur de recherche dédié à la recherche d’informations financières.
Calendar, un calendrier/agenda, devient accessible en ligne.
Google Trends permet désormais de connaitre les recherches les plus populaires en temps réel.
Books ou encore Google doc. Ce dernier comporte un traitement de texte, un logiciel de dessin et un tableur utilisables en ligne via n’importe quel navigateur. Cette application concurrence Microsoft Word et Excel.
Mais ce n’est pas assez pour la marque américaine… Elle décide alors de racheter un autre géant d’Internet: Youtube.
Google Apps, une suite bureautique intégrant GMail, Google Agenda, Google Doc et permettant le travail collaboratif.
Android et Chrome.
Android
Qu’on le veuille ou non, Internet change. Il devient plus mobile, plus rapide.
Google a sa place assurée mais son « business model » pourrait être inquiété par cette nouvelle tendance mobile.
Les annonceurs ne sont pas prêts à donner autant d’argent à Google

pour une recherche mobile que pour une recherche classique. Du coup, le taux de clic est en chute libre. -4% sur ordinateurs et autant sur mobile. Inquiétant ? Pas vraiment, Google enregistre toujours année record sur année record. Ce ne sera pas donc demain la chute.
Aujourd’hui, Android est utilisé dans plus 160 pays.
Afin de s’adapter à cette tendance mobile, Google a lancé Android. Un OS efficace censé contre carrer un autre grand nom américain : Apple.
Avec ces très nombreux constructeurs, la marque piétine petit à petit la marque de la pomme (en quantité). Cependant, il attire une clientèle moins haute de gamme et moins enclin à acheter sur mobile. Apple est un concurrent très sérieux et particulièrement redoutable pour Android. Ceci dit, ce système connaîtra un immense succès et deviendra le plus utilisé des OS pour smartphones, éclipsant le système « Windows Phone » de Microsoft.
Google Chrome et Chrome OS
Partant du constat que le temps passé sur internet est en constante augmentation, Google a décidé de créer un navigateur qui soit rapide, dynamique et innovant, afin d’économiser du temps d’une part, mais également d’être adapté au contenu des pages web qui évoluent et se complexifient année après année. En effet, Chrome ne se veut pas être un simple navigateur, mais un logiciel destiné à optimiser le fonctionnement des services en ligne et, à terme, à promouvoir le Cloud Computing.
Une politique de développement rapide

La politique de Google semble être grandement responsable du succès de Chrome. En effet, face à une évolution rapide d’internet et de son contenu, ainsi qu’au matériel informatique, Google a opté pour un rythme de développement très rapide; chaque version étant espacée d’un mois contrairement à la concurrence qui préfère intégrer des grosses évolutions dans des versions de leurs navigateurs, dont les versions sont publiées moins d’une fois par an.
À titre d’exemple, entre les versions 6 et 7 d’Internet explorer, il s’est écoulé 5 ans. Du point de vue de Google, une lenteur du cycle de développement entraîne un fossé technologique qui n’est pas compatible avec une évolution du web incessante.
Pour s’assurer de la mise à jour rapide de son navigateur, les développeurs ont écarté l’opération humaine de ce processus en incluant un mécanisme de mise à jour automatique silencieuse. Chrome est en permanence à jour, sans intervention de l’utilisateur, qui n’est même pas informé du processus. Cette mise à jour permanente renforce la sécurité du navigateur.
Google promeut un Store qui permet d’ajouter de nombreuses possibilités et services via des extensions, applications et jeux.
Enfin, pour s’adapter à la croissance du marché de l’internet mobile soutenu par la diffusion massive de smartphones et de tablettes, Google a décliné Chrome pour Android et iOS.
Ainsi, le navigateur a vu ses parts de marché augmenter de plus de 0,5 % par mois, mettant progressivement les plus grands concurrents en situation difficile. Fin 2011, selon certains sites d’analyse, Chrome a une part de marché supérieure à celle de Mozilla Firefox. Ce choc médiatique est d’autant plus grand lorsqu’en mai 2012, il talonne Internet Explorer et le dépasse périodiquement, jusqu’à avoir raison de lui pendant l’été, devenant ainsi le navigateur le plus utilisé au monde.
Google Chrome OS
Le développement de Chrome OS a commencé en 2009. Les netbooks
étant de plus en plus populaires, les développeurs de Google ont

donc décidé de créer un OS permettant de rappeler d’où ces petits ordinateurs tirent leur nom. Ils voulaient bien sûr parler de l’accès à Internet.
Afin de déterminer les besoins des utilisateurs d’un tel système d’exploitation, la société Google n’a pas effectué d’enquête ni de sondage, comme d’habitude pour les logiciels de masse. Les responsables du projet ont à la place étudié l’utilisation de ce système d’exploitation par plus de 200 employés de la société Google.
En plus des relevés effectués sur les employés, chaque développeur a été invité à donner son propre avis sur l’utilisation de Chrome OS. C’est notamment le cas de Matthew Papakipos directeur de l’ingénierie du projet Chrome OS. Il confiera qu’il avait placé trois ordinateurs dotés de cet OS chez lui et observa qu’il avait l’habitude de se connecter pour des sessions de courte durée, pour faire une simple recherche sur Internet ou encore envoyer un e-mail de quelques lignes.
Le 19 novembre 2009, Google a publié le code source de Chrome OS sous le nom de « Chromium OS ». Ce dernier est disponible sur le site de Chromium OS. Comme pour beaucoup de projets open source, des développeurs ont commencé à modifier le code source de Chromium OS pour faire leur propre version.
Chrome OS, lui, est uniquement maintenu par la société Google et s’exécute sur des machines pré-installées prévues à cet effet. Chromium OS est un projet et Chrome OS un produit. En conséquence, Chrome OS se voit imposer des spécifications industrielles et un niveau précis de qualité. Chromium OS sert d’«incubateur» pour des idées nouvelles pouvant être intégrées par la suite à Chrome OS.
«L’un des principaux avantages d’un Chromebook, c’est son coût d’administration comparativement à celui d’un appareil Windows. En trois ans, on estime qu’une entreprise économisera environ 4 000 $ par appareil», explique James Lambe, directeur national des ventes au Canada, secteur entreprises, chez Google. David Roy, conseiller principal en gestion de projet chez Alithis, est sceptique face à la promesse d’économie faite par Google : «Ce chiffre, ça semble être plus du marketing qu’autre chose. Par contre, les entreprises peuvent faire une réelle économie du fait que Google pousse ses mises à jour automatiquement, alors que les entreprises doivent mettre à jour Windows et les logiciels qu’elles ont installés elles-mêmes.»
Depuis 2010, Google redore son blason
Google est désormais un monstre économique qui joue dans la même cour que Microsoft. Ce succès insolent commence à lui attirer de sévères antipathies et l’oblige à resserrer la morale de ses politiques. L’année 2010 sera surtout consacrée à de nombreuses actions visant à redorer son blason.
C’est la fin de l’accord avec le gouvernement chinois. Google refuse
désormais de censurer ses résultats de recherche dans ce pays

comme c’était le cas jusque là. Ce choix risque de coûter très cher à Google qui sera désormais mis à l’index (sic) par le gouvernement.
Une nouvelle charte de conduite, nommée Google privacy principles, est éditée par Google. Elle comporte 5 points :
Utiliser l’information pour fournir à nos utilisateurs des produits et des services de qualité.
Développer des produits obéissant strictement aux normes et à la pratique du respect de la vie privée.
Rendre la collecte de données personnelles transparente.
Offrir aux utilisateurs des choix clairs pour protéger leurs informations personnelles.
Se comporter de façon responsable compte tenu des informations que nous possédons.
Cette charte complète la première charte datant de 1997, qui comportait les points suivants :
Rechercher l’intérêt de l’utilisateur et le reste suivra.
Mieux vaut faire une seule chose, et la faire bien.
Toujours plus vite.
La démocratie fonctionne sur le Web.
Vous n’êtes pas toujours au bureau lorsque vous vous posez une question.
Il est possible de gagner de l’argent sans vendre son âme au diable.
La masse d’informations continue de croître.
Le besoin d’information ne connaît aucune frontière.
On peut être sérieux sans porter de cravate.
Il faut toujours aller de l’avant.

Un filtre est ajouté à YouTube afin de permettre de supprimer certains types de contenus (pornographiques, par exemple) des résultats de recherche.
Google reçoit régulièrement des demandes d’organismes gouvernementaux à travers le monde visant à supprimer du contenu ou demandant la mise à disposition d’informations concernant les utilisateurs. Le service « Transparency Report » vise désormais à informer le public de ces demandes et de la suite qui leur est donnée.
Google investit dans les énergies éoliennes en cofinançant un programme en Dakota du nord. 38,8 millions de dollars sont apportés au projet. La société s’engage également à acheter 114 megawatt d’énergie propre à la société NextEra basée en Iowa et participe au financement du projet « Atlantic Wind Connection (AWC) » qui doit desservir 1,9 millions de foyers.
Un rapport sur l’impact de Google sur l’économie américaine démontre que la société à généré 54 milliards de dollars d’activité en 2009.
Google distribue 5 millions de dollars à des associations à but non lucratif visant à développer de nouvelles approches du journalisme sur le Web. La société distribue également 184 millions de dollars à des œuvres de charité et multiplie le sponsoring d’œuvres artistiques musicales, picturales et vidéo.
Le navigateur Chrome à désormais plus de 120 millions d’utilisateurs.
Le système d’indexation des pages Web est revu et rebaptisé « Caffeine ». Selon Google, il permet de proposer des résultats 50% plus actuels que l’ancien système.
L’interface de la page d’accueil est revue à plusieurs reprises au cours de l’année et permet désormais une meilleure personnalisation par l’utilisateur.
En 2011, Google se lance sur les réseaux sociaux avec Google+.
Google+
En juin 2011, lors d’une conférence à Los Angeles, le PDG de l’époque
Eric Schmidt avait reconnu que Google avait manqué le virage « social »

du web, et qu’il avait une part de responsabilité dans cet échec : « I clearly knew I had to do something and I failed to do it. (…) CEOs need to take responsibility. I screwed up » (« Je savais clairement que je devais faire quelque chose, mais je n’ai pas réussi à le faire. Un PDG doit prendre ses responsabilités. J’ai merdé »).
Elle est présentée par nombre de médias comme un produit destiné à concurrencer Facebook. Google+ est le deuxième plus grand réseau social au monde, ayant dépassé Twitter en janvier 2013. Les utilisateurs de Google+ peuvent voir les mises à jour de leurs contacts grâce à des cercles à travers le « Stream », qui est semblable aux « flux de nouvelles » de Facebook. La zone de saisie permet aux utilisateurs de se mettre à niveau sur les états ou l’utilisation des icônes à télécharger et partager des photos et vidéos.
2 semaines après sa sortie, Google Plus avait 10 millions de membres qui effectuaient 1 milliard de partages par jour
En décembre 2011, il y a plus de 60 millions d’utilisateurs. Fin janvier 2012, Google+ a passé la barre des 90 millions d’utilisateurs, toutefois en février 2012 deux études montrent que le temps moyen passé par chaque utilisateur de ce réseau social est faible comparé à Facebook (un peu plus de 3 minutes par mois pour Google+ contre plus de 6 h pour Facebook) et même qu’il a diminué jusqu’en décembre 2011 ; les données de ces études ont été dénoncées comme « particulièrement sous-évaluées » par Google.
Caractéristiques de G+
Google+ est conçu comme une couche supplémentaire sur des services Google existants et fonctionnant avec un compte Google.
Google met en avant trois nouveaux services :
les cercles (« circles »), des groupes de contact différents que l’utilisateur peut créer et au sein desquels il décide des informations qu’il souhaite partager, proche des « Aspects » de Diaspora.

Organisés via une interface en « drag and drop », les contacts font partie de cercles dont ils peuvent connaître les membres mais dont ils ne connaissent pas le nom ; les paramètres de vie privée permettent aussi à chacun de cacher les membres de ses cercles ainsi que ceux dont ils font partie. Ce système remplace la « liste d’amis » typique d’autres sites comme Facebook.
les bulles (« hangouts »), un système de chat vidéo collectif et spontané, réunissant entre 2 à 10 personnes en simultané. Chaque

bulle peut potentiellement être rejointe par quiconque en possèderait l’URL unique. Le 18 août 2011, Google a ajouté une fonction au bouton « Partage » des vidéos YouTube, permettant de suggérer à un ami de venir regarder la vidéo en simultané, dans une bulle.

les déclics (« sparks »), un système de suggestion et de partage de contenu par thème avec ses contacts, proche de la section « Recommandations » de Google Reader.
Par ailleurs, un compte Google+ permet :
Aux utilisateurs Picasa de stocker des images de façon illimitée (sauf pour la définition), là où un utilisateur lambda se voit imposer un quota de stockage.
On compte aujourd’hui 1,5 milliard de photos uploadées chaque semaine sur Google+
D’envoyer de manière automatisée ses photos depuis un téléphone Android ou iOS vers un dossier privé, via la fonction «instant upload», pour éventuellement les partager plus tard.
De communiquer via le chat Google Talk, de la même manière que Gmail, mais aussi à travers la fonction « Huddle », un outil de communication instantanée disponible sur Android, iPhone, et par SMS. De voir des vidéos Youtube directement depuis votre page Google+, service mis en place depuis le 3 novembre 2011.
Le lancement s’est déroulé après celui de Google +1, une
fonctionnalité qui permet à un utilisateur d’un compte Google de

cliquer sur un bouton disponible sur la plupart des sites internet afin d’indiquer qu’il aime l’article.
Google a annoncé le 11 août 2011 qu’il y aurait des jeux disponibles sur Google+ très rapidement. On sait qu’au lancement de ce nouveau service, 16 jeux ont été disponibles, il en compte désormais 38.
Google permet depuis mars 2013 d’utiliser des Gifs animés en image de profil sur Google +
Conclusion
Google est sur tous les fronts et ne laisse aucun répit à ses concurrents directs. La machine implacable prend chaque mois plus d’ampleur et on voit mal ce qui pourrait l’arrêter.
Qu’il s’agisse du moteur de recherche, publicité en ligne, marché mobile, les chiffres sont sans appel. Il y a quelques années on pensait par exemple Internet Explorer indétrônable malgré un challenger en

pleine ascension : Mozilla Firefox. Aujourd’hui exit ces deux navigateurs, le leader se nomme Chrome. Google se dispute aussi le marché mobile et voit son système d’exploitation mobile écraser toute concurrence. Même Apple a du céder. La prochaine étape se jouera sur le nombre de terminaux mobiles vendus, Google proposant aujourd’hui ses propres smartphones et tablettes. Seul point noir, face à Facebook. Pas de confrontation frontale. Car si Google domine bien sur le marché de la publicité, Google+ est toujours à la peine sur le marché des réseaux sociaux.
Sources
http://www.google.com/intl/fr_be/about/company/history/
http://www.seo.fr/google-histoire.php
http://www.rankspirit.com/histoire-google.php
http://histoiresdeweb.fr/google-histoire/
http://blog.anthedesign.fr/marketing-2/google-adwords/
http://www.comment-gagner-sur-internet.com/vente-internet/google-adwords.php
http://telechargement.journaldunet.com/fiche/4262/2/google_toolbar/
http://www.rankspirit.com/google-espion.php
http://www.commentcamarche.net/faq/gmail-575
Cliquer pour accéder à search-engine-optimization-starter-guide-fr.pdf
http://www.web-solution-way.be/1-referencement/4-positionnement-google.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Map
http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_chrome
http://fr.wikipedia.org/wiki/Google_Chrome_OS
http://www.lesaffaires.com/archives/generale/avantages-et-inconvenients-de-chrome-os/554274
J’éprouve toujours une grande satisfaction en lisant tes articles ! Merci beaucoup !
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